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fan-fic : souvenir d'Aya

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fan-fic : souvenir d'Aya Empty fan-fic : souvenir d'Aya

Message par {B.S.G-C} Nathän Dim 1 Aoû - 22:45

Vous ne trouverez ici nul vaisseau spatiale, nulle arme laser, pas de champ de confinement électromagnétique, ni implosion sub-spatiale, ni trou noir, charge à plasma, extraterrestres etc etc etc
Vous trouverez ici les souvenir d'un personnage que j'ai créer il y a quelques temps de cela.
Bonne lecture à vous ^^

**********************

Il fait nuit, dans la noirceur des ténèbres de cette nuit le vent souffle fort, les feuilles des arbres s’envolent et les branchent craquent dangereusement, le ciel est pourtant clair, les étoiles sont
parfaitement visibles et la lune brille, le vent cependant a quelque chose de malsain. Nul bruit d’animaux en ce lieu, seul le vent brise outrageusement ce silence funeste. Sur une colline, au milieu d’une forêt un groupe de personnes forme un cercle, leurs visages sont cachés sous d’épaisses capuches, chacun d’eux porte un lourd manteau fourrure sombre ; en dessous, ils portent tous une tunique épaisse noire, et chacun d’entre eux est armé d’une lourde hallebarde dont la lame, faite dans un acier perdu au fil des siècles, luit légèrement dans la nuit. Au centre de cet étrange groupe une personne, une jeune fille, celle-ci ne doit pas avoir plus de dix-sept ans, enchainée à une lourde dalle de pierre, elle affiche un regard mort, une larme perle le long de sa joue droite. C’est une jeune adolescente dans la fleure de l’âge, environs un mètre septante, elle a de longs cheveux noir de jais qui reflètent par endroit les rayons de la lune, ceux-ci masque son visage qui est penché vers le sol. Cette jeune femme est vêtue d’une tunique autrefois blanche, mais qui maintenant est déchirée en plusieurs endroit, partout sur la tunique de la jeune fille se mêlent boue et sang séché, ça et là le tissus déchiré laisse entrevoir des plaies encore fraiches, la jeune fille saigne, de temps à autre une goutte de sang traverse le tissus et vient s’écrasé sur la dalle de pierre, elle ne laisse pourtant paraitre aucun signe de douleur, presque ignorante de ce qui l’entoure elle semble lasse, son corps semble en proie à une fatigue intense et ne bouge qu’au rythme de faibles et rares respirations. Le vent souffle encore, autour de la dalle de pierre personne ne bouge, tous regardent la jeune fille avec anxiété, peut-être attendent-ils une réaction de la part de celle-ci, certain ont peur, d’autre la regarde avec haine, certain avec colère, d’autre encore avec tristesse mais tous la surveillent avec attention. Resserrant sa prise sur son hallebarde et prenant une grande inspiration l’une des personnes s’avance. Son pas est lourd, arrivé à un mètre de la jeune fille il ôte sa capuche découvrant ainsi son visage. C’est un homme âgé, la cinquantaine bien entamée, son visage est dur et son regard sévère, sous ses sourcils broussailleux son œil valide fixe la jeune fille, son regard brun la scrute. Le visage de cette personne est bardé de cicatrice, certaines très anciennes d’autre beaucoup plus récentes. Une grande moustache blanche couvre sa bouche. Ses cheveux sont blancs relativement courts ils bougent à peine sous le vent, pourtant violent ; son œil gauche est depuis longtemps invalide, la grande balafre qui
court sur son visage laisse deviner un coup malheureux qui l’a privé de cet œil, enfin un front assez dégarnie laisse deviner une action du temps qui l’épargna sans doute moins que les autres. La jeune fille ne leva même pas les yeux pour voir cet homme, perdu dans ses pensées les plus intimes, elle ne se rend probablement plus compte de sa situation.

« Comment en est-on arrivé là ? Pense-t-elle. Pourquoi tout doit finir comme cela, tout avait pourtant bien commencé, qu’est ce qui m’a fait oublier l’importance de la vie, depuis quant ais-je cessé d’exister en temps qu’humain ? »

L’homme tendit le bout du manche de son hallebarde vers la jeune fille, l’appuyant sur le menton de celle-ci, il relève le visage de la jeune fille. La lune éclaire alors un visage qui ne sera bientôt plus… Sous ses cheveux noirs la jeune fille révèle un visage fin aux traits élégants, une peau claire et sans défaut, de fines pommettes et de magnifique yeux bleus se révèlent alors sous le claire de lune.De son regard valide le vieil homme scrute le visage de la jeune fille, il fixe son regard à elle mais rien ne change, dans le regard de cette jeune fille on ne peut lire aucun sentiment, ni rage, ni tristesse, plus aucune trace de honte ou de ressentiment, juste un abîme, un puits sans fond, de l’acceptation. Résignée à son sort elle n’éprouve plus rien, son envie de vivre l’a, depuis longtemps déjà, quitté, elle n’est plus qu’une âme en peine.
L’homme finit par se décourager, ne trouvant nul réaction chez cette jeune fille il retire le manche de son hallebarde, le visage de la jeune fille retombe aussi tôt dans sa position de départ. D’une voix à la fois ferme et empreinte de tristesse il ordonne à la jeune prisonnière de se lever. Celle-ci lève la tête vers lui, son regard toujours aussi absent, et se lève. Les lourdes chaines auxquelles elle est attachée grince, lentement la jeune fille se lève, à présent le bruit du vent et celui des chaines emplissent ce lieux. L’homme retourne alors parmi ses compagnons, un lourd silence s’installe alors sur cette colline, la jeune fille se sent lasse, toujours perdue dans ses pensées elle se demande encore comment en est-elle arrivé là. Le cercle reste silencieux, ils savent pourtant ce qu’ils ont à faire mais aucun ne bougent, les minutes s’écoulent, une personne enfin s’avance, celle-ci est plus jeune, un homme d’une vingtaine d’année se place devant la jeune fille, celle-ci
ne le regarde pas d’avantage. Le jeune homme la regarde d’un air triste, visiblement il connaissait bien la jeune fille, de moins pensait-il la connaitre. Son visage est fermé, fin et beau le jeune homme à des cheveux brun mi-longs qui lui descendent jusqu’aux épaules, ses yeux sont bruns également. L’homme a la mâchoire crispée et les muscles tendus, sa main droite sert le manche de son arme avec tant de force que le blanc de ses jointures est visible.

« Pourquoi, crie-t-il, pourquoi les avoir tous tué ? Que t’avaient-ils fais pour mérité ça ? »

L’homme parle fort, des larmes de rages, de tristesses et de frustrations coulent le long de ses joues, plus que l’acte commit par la jeune fille c’est son manque de réaction qui l’attriste le plus, ou est donc passé celle qu’il avait connu, celle qu’il avait aimé, avait qui il devait passer le restant de ses jours ? L’homme ne trouve plus les mots, plus que son incompréhension c’est le regret qu’il ressent qu’il voudrait lui exprimer, lâchant son hallebarde et à la surprise de tous les autres, il sert la prisonnière dans ses bras, il ne prononça plus un mot, si même un son. On le voit murmurer quelque chose à l’oreille de la prisonnière mais aucun son ne semble sortir de sa bouche. Seul le bruit de ses larmes heurtant le sol brise de tant à autre un silence devenu complet alors que le vent lui-même semblait rester silencieux. La jeune fille ne réagit pas, son regard toujours aussi éteint, elle ne ressent probablement pas l’étreinte de cette personne. Une autre personne sort du cercle pour s’approcher de la de l’homme aux cheveux brun, celle-ci mit sa main sur l’épaule du jeune homme suis tourna alors la tête. La seconde personne baissa le regard et fît non de la tête, l’homme rompt alors son étreinte, se détourne de la prisonnière et ramasse son hallebarde. Son visage est redevenu sérieux, son regard se fait de marbre, se retournant vers la prisonnière il commença à parler d’une voix forte dans laquelle se trouvait une assurance nouvelle.

"Aya Tsakuya, pour les meurtres que vous avez commis et pour le crime de haute trahison le clan vous condamne à subir le châtiment du Kvaèdr* ! Avez-vous quelque chose à dire avant que la sentence ne soit appliquée ? "

La jeune fille ne prononça aucun mot, pas plus qu’elle ne regarda son futur bourreau, la jeune fille reste là, sans bouger, l’annonce de sa condamnation et de son châtiment n’ont rien éveillé en elle, telle une poupée dénuée de toute vie elle reste là, son corps tint debout par on ne sait quel miracle. L’homme aux cheveux bruns baisse la tête, il a dès à présent perdu tout espoir de retrouvé un semblant de réaction chez celle qui fût autrefois son âme sœur, levant bien haut la lame luisante de son hallebarde il s’apprête, avec regret, à exécuter la sentence précédemment dictée. Il ferme les yeux, on peut le voir murmurer une prière pour la condamné, il abat sa lame...

« Sept cent soixante-quatre ... »

Le bourreau s’arrêta net, sa lame à quelques millimètres à peine du cou de la prisonnière. Celle-ci le regarde droit dans les yeux, bien que la lame soit tout près de son cou elle ne montre aucun signe de crainte, elle balaye la funeste assemblée du regard, son regard n’exprime toujours aucun sentiments mais contrairement à avant, il semble à nouveau vivant. L’homme la regarde avec stupeur, il ne parvient pas à en croire ses oreilles.

" C’est la réponse à ta question. C’est le nombre de gens que j’ai tué de mes mains ces deux dernières années, quatre cent quatre-vingt-neuf la première année et deux cent septante-cinq cette année. Je me souviens de chaque nom, de chaque visage, je vois encore leurs visages, j’entends leurs voix et quant je ferme les yeux je les vois qui m’attendent de l’autre coté du fleuve et qui me disent : « vient, vient sœur, vient nous rejoindre, nous t’attendons. »"

La prisonnière marque une pose, elle regarde son bourreau avec une infinie douceur, lentement elle pose sa main sur celle de son bourreau, elle ne peut guère faire plus, des chaines aussi ancienne que ce lieux la clouent sur place.La prisonnière murmure quelques mots à son bourreau, celui-ci la regarde avec une stupeur renouvelée, une larme perle le long de sa joue droite. La prisonnière ôte sa main, elle sourit à son bourreau. Celui-ci, lentement, relève sa lame…

« Je me souviens maintenant, je me souviens pourquoi j’ai perdu l’envie de vivre comme un être humain »

La lune brilla ce soir là, sur une colline isolé dans une forêt tortueuse,le corps sans vie d’une jeune fille gît, elle a le visage serein…

************************************

Une page de l’histoire se tourne, les gens sont comme la dernière feuille d’un arbre, pour les comprendre il faut descendre aux racines, plonge toi dans les souvenirs pour comprendre ...

[*Kvaèdr : malédiction créée par le fondateur du clan Tsakuya, cette malédiction était appliqué sur les criminels qui se rendaient coupable de nombreux meurtres. Au fois tué, l'âme du coupable était condamnée à se réincarner sans cesse dans l'esprit des descendant de ses victimes sans rien pouvoir faire d'autre que de voir les siècles s'écouler. La liberté de l'âme est bien sur dépendante de la volonté de l'hôte.]


***********************
Assise au somment d’un aplomb rocheux une jeune fille regarde le soleil se lever, elle a le visage fermé et semble triste, les jambes croisées elle essuie sa joue droite, continuant à contempler le soleil levant, elle appuya sa tête sur l’énorme panier qu’elle portait sur son dos. Le panier est plus grand qu’elle, fait de toile de jute et tressé de bambou, sur le coté se trouvait une faux ainsi qu’un étrange bâton surmonté d’une lame courbe. Le panier est remplit de champignons tout aussi énorme, les champignons sont bruns et très épais au niveau du pied. La jeune fille à passé toute la nuit à les trouver dans les montagnes, ces champignons sont sur le territoire de grand fauves des montagnes et seule la nuit permet de les recueillir. La jeune fit se releva finalement, d’un bond souple elle sauta en dessous de l’aplomb et poursuivit sa route en bondissant de rocher en rocher.Le soleil se leva, au loin l’ombre de la jeune fille disparut.

**********
Sur une colline un peut à l’écart d’un village caché entre des montagnes aux hauteurs arrogantes et une forêt à la fois dense et sombre, deux hommes discutent, l’un d’entre eux a des cheveux grisonnants et un barbe blanche, son visage, bien que ridé et patiné par les ans, a un air doux, ses mains son appuyées sur une canne faite en bois, il est vêtu d’un
kimono noir et porte un lourd manteau de fourrure. L’autre a la cinquantaine, son physique musculeux le désigne clairement comme un guerrier, il a des cheveux poivré-sel court et une fine moustache, ses yeux ou plutôt son œil regarde dans le vague, de ses deux yeux seul un est encore valide, l’autre est bardé d’une cicatrice. Celui-ci est vêtu d’un kimono épais et à la ceinture porte un katana et un wakisashi. Le plus vieux d’entre eux fixe l’horizon avant de parler d’une voix forte et sans émotion.

« Alors, comment le prend-elle ? »
« Mieux que nous ne pouvions l’espérer, elle . . . elle fait preuve de beaucoup de maturité.»
« Tant mieux, c’est ce qu’il faut, si jamais elle perdait le contrôle d’elle-même ce serait catastrophique pour nous. »
« Je suis d’accord mais ce n’est qu’une enfant, peut-être qu’il est trop tôt pour... »
« Non ! Enfant ou non elle doit le faire. »

L’homme à la barbe blanche s’assit sur un banc proche, il semblait fatigué et particulièrement las, déposant sa canne sur l’herbe il soupira et passa une main sur son visage, les derniers événements l’avaient particulièrement affectés, son visage montrait de nombreuses nuits sans sommeil et remplie d’inquiétude.

« Où est-elle actuellement ? »
« Dans la montagne, elle est partie hier matin sans dire ce qu’elle comptait faire »

**********
Telle une ombre filant d’arbre en arbre, de branche en branche, Aya parcourrait la forêt avec son énorme panier sur son dos, à la fois agile et rapide elle parcourrait de grande distance en un temps relativement court, lorsque les branches ne pouvaient retenir son poids elle sautait sur le sol et continuait en courant à pied, durant un temps elle avait courut au coté d’un cerf blanc, une espèce rare aujourd’hui éteinte. Aya aimait courir à coté des cerfs blancs, ceux-ci étaient très rapide et se déplaçaient beaucoup mieux qu’elle en forêt, les suivre constituait donc un défit, un entrainement et un amusement qui, l’espace d’un temps, lui faisait oublier ce qui se passait en dehors de cette forêt, ce qu’une fois revenue dans son clan, elle devrait faire, les gens qu’elle devrait voir et écouter, qu’elle devrait supporter et . . . voir disparaitre. Aya souriait, elle courait en riant, elle suivait le cerf avec un sourire heureux sur son visage, oubliant ce qui se trouvait autour d’elle elle suivait le cerf en souriant, ce cerf elle le connaissait, ici, c’était son territoire et il aimait jouer avec elle
mais si tout jeu débute, il finit aussi pas se finir, c’est ainsi que le cerf partit, au tournant d’un grand arbre il disparut, à l’orée d’une clairière Aya se retrouva seule, elle s’arrêta, son sourit disparut. Elle se mit soudain à rire, elle riait d’un rire triste, elle commença à pleurer, d’abord une larme, puis une autre avant qu’elles ne coulent sans discontinuer. Le rire céda la place à une plainte, une souffrance déchirante, elle tomba à genoux sur le sol et continua de pleurer, les mains sur son visage, la fille rieuse et joyeuse avait céda la place à une petite fille qui souffrait . . .Sous le coup de la fatigue et de la tristesse aya s’endormit, assise contre son panier elle s’endormit profondément, pleurant encore dans son sommeil. Son rêve fut agité, elle se voyait confusément entourée de flammes, criant de douleur et de rage, pleurant des larmes de sang, elle se voyait entourée des cadavres de sa famille, de ses amis, de son clan en entier. Elle ne voulait pas ça, elle voulait fuir le plus loin possible de cette vision, de ce cauchemar. Dans la clairière son corps endormit suait, il tremblait et de temps en temps on pouvait entendre quelques mots, des bribes de paroles incohérentes et insensées. Un vent léger parcourut cette clairière, un vent doux et chaud, un vent annonciateur de renouveau.Dans la clairière une personne apparut, mesurant environs un mètre quatre-vingt, possédant un physique svelte et athlétique, de longs cheveux bruns qui lui descendaient jusqu'au bas du dos, des formes parfaitement proportionnée à son corps et à sa taille, cette personne
avait de fins yeux rouges encadrés par de ravissantes mèches, celle-ci s’avança d’un pas silencieux vers Aya, malgré l’étrange robe qu’elle portait, elle ne faisait pas le moindre bruit, le son lui-même semblait éviter cette personne. Arrivée à la hauteur d’Aya elle s’agenouilla à coté d’elle, regarda son visage d’un air curieux et pencha la tête sur le coté, elle tendit sa main vers le visage d’Aya, du bout des doigts elle effleura la joue d’Aya et essuya les larmes.
Aya se réveilla en sursaut, elle tourna la tête à droite et à gauche mais ne vit personne.

« Et bien on peux dire que tu dors longtemps pour quelqu’un qui m’a mandé »

Aya releva la tête et vit une personne assise sur une branche d’arbre, la première chose qui la frappa fût l’apparence de celle-ci, une très belle femme habillée d’une robe qu’elle n’avait encore jamais vue, une robe fine qui épousait chaque recoin de son physique, qu’elle avait très avantageux d’ailleurs. Aya secoua la tête et se remit les idées en place, elle fit une tête incrédule en comprenant le sens de ces paroles. Mander ? Elle n’avait mandé personne, ni ici, ni dans son clan, ni maintenant, ni avant, ni jamais. D’aussi loin qu’elle pouvait s’en souvenir elle n’avait mandé personne, et surtout pas une personne qu’elle n’avait jamais vu et qui visiblement n’était pas de la région.L’autre personne la regarda, elle fixa son regard rouge sang dans celui d’Aya, après un instant elle sourit.

« oui, j’en suis sure, tu m’as bel et bien mandé. »

{B.S.G-C} Nathän
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